ChiffonMarron, ils sont chauds mais marrons, *** l'accent auvergnatD'un monsieur moustachu que tout le monde côtoieMarron, c'est le bruit de ma ville, c'est le cri de chez moiEt mon esprit docile me souvient de tout çaMétro, il fait bon dans le métroQuand arrive l'hiver, jour ou nonMétro, il fait bon dans le métroMétro, vendu à la criée, auquel se fait l'hiverPiétons, circulez les piétons, *** l'agent de la rueAux milliers de badeaux qui forment la coïlePiétons, c'est le bruit de ma ville, c'est le cri de chez moiEt mon esprit docile me souvient de tout çaLes reins roulent autour du mondeMétro, ils sont chauds mais marrons, *** l'accent auvergnatMenant une infernale rondePortant des gens qui la plupart n'ont envie d'aller nulle partEt tandis que ces monstres roulentLes souvenirs passent en fouleDes bruits, des cris, d'étranges sonsQui en plaît prennent des proportionsA vous faire éclater le frontMessieurs, approchez, regardezTrois cravates pour cent ansA quoi bon s'en priver ?A quoi bon s'en priver ?C'est le bruit de ma ville, c'est le cri de chez moiEt mon esprit docile me souvient de tout çaChérie, écris-moi mon chériC'est l'amour en alarmeSur le quai d'une gare pleine de rires et de larmesChérie, c'est le bruit de ma villeC'est le cri de chez moiEt je m'endors docile en rêvant pas tout çaC'est le bruit de ma ville, c'est le cri de chez moiC'est le bruit de ma ville, c'est le cri de chez moiMa villeMon toit