Le monde est aux gens qui sont tristesMême les clowns et les artistesDe vagues à l'âmeEn mélodrameNous arrachent des larmesPalaléro, palaléro, le monde est sans joiePalaléro, palaléro, je ne m'en prends pasJe prends tout du bon côté, du côté ensoleilléEt quand ça va mal, moi j'ai le moralOn m'appelle l'OrientalJe profite au jour le jourDe la vie et de l'amourJe prends mon destin peu comme il vientComme tous les bohémiensLes princesses des magazinesS'ennuient au bord de leur piscineLa tête videElles se dépriment pour l'ombre d'une rideLe joueur qui jette ses cartesOu bien qui se donne en spectacleDès que la chance part en vacancesA tout perdu d'avancePalaléro, palaléro, le monde est sans joiePalaléro, palaléro, je ne m'en prends pasJe prends tout du bon côté, du côté ensoleilléEt quand ça va mal, moi j'ai le moralOn m'appelle l'OrientalJe profite au jour le jourDe la vie et de l'amourJe prends mon destin peu comme il vientComme tous les bohémiensLes grands chemins de l'existenceOn devrait paver d'insoucianceSemble pénible, semble terribleAux enfants de la villeMais il suffit de dire je t'aimeEt le chemin n'est plus le mêmeUne parole qui vous consoleEt le chagrin s'envolePalaléro, palaléro, laï na laï, non laïPalaléro, palaléro, laï na laï, non laïPalaléro, palaléro, laï na laï, non laïPalaléro, palaléro, laïLa, La, La, La, lai, lè...